logo Or2s bleuL’OR2S a mené une étude pour comparer le recours aux professionnels de santé en 2020 avant, pendant et après le confinement en 2020 sur les mêmes mois pour 2019.

 

La première vague de l’épidémie de la Covid-19 a touché la France au début de l’année 2020. Les Hauts-de-France furent l’une des premières régions impactées, et l’Oise fut le premier département à connaître des mesures administratives restrictives (fermeture d’écoles, interdiction des rassemblements, limitation des déplacements). À l’échelle nationale, le premier confinement de la population s’est déroulé du 17 mars au 11 mai 2020.

 

 

Rencontres avec médecins Covid OR2S

Cette obligation s’est accompagnée de la fermeture de nombreux établissements accueillant du public (enseignement, commerces « non essentiels », lieux culturels...), et de mesures d’hygiène collective (distanciation physique, lavage des mains, port du masque). Ces évènements, et le climat d’anxiété généralisée lié à l’incertitude sur les conséquences et l’évolution de l’épidémie, ont provoqué des changements importants sur la demande de soins.

 

 

 

Nombre cumulé de rencontres (en millier) de médecins généralistes en fonction de la semaine

 

Courbe Covid 19 OR2S

 

L’offre de soins a également été perturbée par la mise en place de protocoles spécifiques, l’organisation d’une filière de soins pour les patients suspects à la Covid-19 et les déprogrammations en milieu hospitalier afin d’augmenter les capacités d’accueil, notamment en réanimation. Tout ceci dans un contexte tendu d’approvisionnement en matériels de protection individuels et en médicaments.

 

Les conséquences de ces évènements sur la consommation de soins de ville ont été mesurées par l'analyse des prescriptions des soins remboursées par l’Assurance maladie, selon le type de professionnels de santé, le lieu du domicile, l’âge et le sexe des patients. Des indicateurs de consommation de soins ont été construits sur la base du nombre de rencontres journalières entre un patient et un professionnel de santé.

 


En 2020, en période de pré-confinement, le nombre de rencontres avec un médecin généraliste est comparable à celui de 2019. Ensuite, une diminution de -29 % entre ces deux années est observée sur la période du premier confinement (17 mars-11 mai). Après le confinement, l’écart entre les années 2020 et 2019 a continué de se creuser pendant quelques semaines, puis s’est stabilisé jusqu’à la fin de la période d’observation, soit la fin du mois d’octobre.
Ainsi, pour les médecins généralistes, comme pour les autres professions, la période entre les deux confinements n’a pas permis de rattraper l’activité perdue.

 

 

 

Méthodologie

 

La consommation de soins de ville des personnes domiciliées dans les Hauts-de-France constitue le centre d’intérêt avec une inclusion, dans le périmètre des soins de ville, des soins externes réalisés dans les établissements de santé privés lucratifs.


L’ensemble de l’analyse est décliné aux populations suivantes :
• Ensemble des habitants des Hauts-de-France,
• Patients atteints de pathologies chroniques, selon la pathologie.


Elle porte sur plusieurs catégories de professionnels de santé :
• Les médecins généralistes,
• Les chirurgiens-dentistes,
• Les masseurs-kinésithérapeutes,
• Les sages-femmes.


Les résultats sont présentés pour différents échelons géographiques :
• La région Hauts-de-France,
• Les départements,
• Les territoires de démocratie sanitaire,
• Les espaces de dialogue,
• Les territoires de proximité,
• Les EPCI.

 


Source des données
Les données du Système national des données de santé (SNDS), et plus précisément celles du datamart des consommations inter-régime (DCIR) ont été utilisées. Les rares données concernant les établissements de santé publics ont été exclues. Les données des consultations externes en établissement de santé publics sont restituées de manière exhaustive dans le datamart du PMSI ; elles font l’objet d’une analyse complémentaire.

 

À partir des données du DCIR, il est possible de suivre les prestations de soins remboursées par l’Assurance maladie, en fonction du type de professionnel de santé mais aussi du lieu de domicile, du sexe et de l’âge du patient.
Ces prestations peuvent être :
• un acte réalisé par un professionnel de santé, et facturé à l’unité ;
• une ou plusieurs actions de soins comprise(s) dans un forfait de soins ;
• une rémunération payée directement à un professionnel par l’Assurance maladie (ces prestations sont affectées à des bénéficiaires fictifs) ;
• une indemnité journalière.


Au plus, une prestation par patient, par professionnel de santé et par jour a été comptabilisée. En effet, le nombre d'actes codifiés lors d'une consultation peut être variable selon le motif de consultation, le patient, le professionnel, ou la fréquentation. Cette approche a l’avantage de ne pas tenir compte des écarts entre les habitudes de codification qu’il pourrait exister entre professionnels de santé ; elle est toutefois moins révélatrice de l’activité réelle de ces derniers.

 

Indicateurs mesurés
L’objet est de mesurer un indicateur qui soit le reflet des « rencontres » entre patients et professionnels de santé ; celles-ci peuvent avoir lieu au domicile du patient, au cabinet du praticien, en consultation externe en établissement de santé (hors hôpital public), ou en téléconsultation. Pour cela, ont été exclues toutes les prestations liées à des forfaits, indemnités ou à des bénéficiaires fictifs.

 

Pour chaque catégorie de professionnels de santé, le nombre de rencontres, comme défini plus haut, a été mesuré avec comparaison, aux mêmes périodes, entre les années 2019 et 2020. À partir de ceci, de nouveaux indicateurs de consommation régulière puis de rupture de soins ont été construits.


Critères d’inclusion et d’exclusion des bénéficiaires
• Être né avant 2019,
• Avoir au moins une prestation remboursée entre le 1/1/2019 et le 31/12/2020,
• Le dernier département de domicile connu (ie département du dernier remboursement de soins) se situe dans les Hauts-de-France,
• Critère de qualité des données : avoir un identifiant SNDS qui correspond au NIR crypté du bénéficiaire (ie risque de doublon jugé faible).
Les critères d’exclusion sont :
• Être décédé avant le 10/5/2020 (fin du confinement),
• Critère de qualité des données : avoir un NIR fictif ou provisoire,
• Critère de qualité des données : avoir plusieurs enregistrements dans le référentiel des bénéficiaires à la date de la dernière mise à jour.


Populations étudiées


Les critères d’inclusion précédents, définissent une cohorte des bénéficiaires des Hauts-de-France. À partir de cette cohorte, plusieurs sous-cohortes ont été étudiées portant sur les :
• bénéficiaires inscrits en ALD n°05 (insuffisance cardiaque grave, troubles du rythme graves, cardiopathies valvulaires graves, cardiopathies congénitales graves);
• bénéficiaires inscrits en ALD n°14 (insuffisance respiratoire chronique grave);
• bénéficiaires inscrits en ALD n°30 (tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique), puis parmi ceux-ci, les bénéficiaires :
• inscrits en ALD n°30 pour cancer du sein (seulement de sexe féminin),
• inscrits en ALD n°30 pour cancer du côlon-rectum,
• inscrits en ALD n°30 pour cancer de la prostate,
• inscrits en ALD n°30 pour cancer du poumon.

 

 

Logo maison santé Gilbert Peres Aisne sudLe ministère des Solidarités et de la Santé, associé au ministère des Sports, a lancé courant 2019 un appel à projet national dans le cadre du plan Ma santé 2022 relatif aux maisons Sport-Santé.


L’hôpital Villiers-Saint-Denis porte le projet de maison sport-santé pour le territoire du Sud de l’Aisne, en étroite collaboration avec la communauté d’agglomération de la région de Château-Thierry, les communautés de communes de Charly-sur-Marne et de Retz-en-Valois, les villes de Château-Thierry, Charly-sur-Marne, et Villiers-Saint-Denis.

 

Carte Maison sport sante aisne sud


Au regard des recommandations et cadres réglementaires publiés ces dix dernières années, la pratique d’une activité physique adaptée et l’adoption de comportements non sédentaires deviennent des déterminants essentiels de l’état de santé des populations et participent à réduire l’isolement et les inégalités sociales et territoriales entre les individus.


S’appuyant ainsi sur les forces territoriales existantes, la maison Sport santé Gilbert Peres Aisne Sud a pour ambition de construire une dynamique « sport-santé » afin de :
- soutenir un enjeu de santé publique pour toutes les générations ;
- maintenir ou accompagner les territoires partenaires dans le réseau français de Villes – Santé OMS ;
- faciliter l’accès tout public ;
- sécuriser les pratiques ;
- limiter l’apparition de complications des maladies installées ;
- limiter l’apparition de pathologies chroniques en complétant les actions en prévention primaire et secondaire déjà déployées sur le territoire.

 


Deux programmes sont menés pour les habitants du territoire : Je bouge pour ma santé et Je bouge en entreprise.

 

Ces programmes comprennent :

1. La réalisation d’un bilan de condition physique adapté à chacun : identifier les capacités et la motivation de chacun afin d’adapter un programme personnalisé de poursuite ou de reprise d’activité physique
2. L’accompagnement tout au long du parcours en partenariat avec les clubs / associations sportifs du Sud de l’Aisne
3. Un suivi annuel par la réalisation d’un nouveau bilan de condition physique à distance, permettant de cibler l’évolution (maintien / progression / adaptation).

 

Ils sont financés par certaines mutuelles dans le cadre de partenariat en cours de réalisation. Certaines mutuelles peuvent financer l’adhésion à une association ou un club sportif (participation totale ou partielle sur le coût de la licence). Ils peuvent aussi être financés en réponse à des appels à projets avec des publics cibles. Les entreprises pour leur salariés dans un démarche de qualité de vie au travail

 

Numéro Unique : 03 23 70 74 50

Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

 

Flyer

 

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Sud'Aisne en forme

Maisons Sport Santé en Hauts-de-France

 

Aillleurs sur PF2S

Ma santé 2022

logo OMSL’OMS Europe a lancé son indice de sévérité des mesures sociales et de santé publique prises par les États de la Région Europe face à la pandémie de Covid-19.

L’indice de sévérité des mesures sociales et de santé publique (Public Health and social Measures, PHSM) met en évidence les mesures sociales et de santé publique prises par les pouvoirs publics de chacun des cinquante-trois États membres de la Région Europe de l’OMS afin de lutter contre la Covid-19.


Cet indice est intégré dans le tableau de bord Covid-19 de l’OMS Europe. Il permet de visualiser rapidement les informations et les statistiques Covid-19 les plus récentes et pertinentes pour chaque pays de la Région en matière de cas et de décès. Parallèlement, il met en évidence six mesures de santé publique prises par les pays : port du masque, fermeture des écoles, fermeture des bureaux, des entreprises et des institutions ainsi que l’arrêt des opérations, restrictions en matière de rassemblements, restrictions des déplacements intérieurs et limitations des voyages internationaux.


Le tableau de bord permet également de sonder et de comprendre les nuances des actions menées par chaque gouvernement. Au moyen d’une analyse au niveau régional, il est possible de dégager les stratégies communes en matière de mesures sociales et de santé publique, ainsi que les aberrations et les modèles émergents. Ces informations, étayées par des exemples spécifiques à chaque pays, présentent un aperçu général permettant d’éclairer l’élaboration des politiques.

 

Le PHSP est formé des six mesures notées sur une échelle ordinale correspondant au degré d’intensité de la politique : par exemple, mise en œuvre dans l’ensemble du pays ou appliquée à un niveau sous-national ou à un groupe de personnes ; si elle réduit la sévérité globale de la mesure si elle s’applique uniquement à un groupe ou à un lieu sélectionné par opposition à l’ensemble du pays ou à la population générale. Ces facteurs sont combinés et rééchelonnés en fonction de la valeur maximale de l’indicateur et placés sur une échelle comprise entre 0 et 100. La moyenne de ces six indicateurs constitue le score composite de l’indice de gravité de l’PHSM pour chaque pays.

Ces six mesures se réfèrent à des interventions communes, restrictives et à grande échelle, prises par un nombre important de pays de la Région Europe de l'OMS. La portée, la sévérité et le calendrier de leur mise en œuvre sont également agrégés pour produire un score composite de l’Indice correspondant à la moyenne de ces six indicateurs.

Elles correspondent au le port du masque, à la fermeture des écoles, à la fermeture des entreprises, commerces, administrations... aux restrictions de déplacements, y compris déplacements internationaux, et aux rassemblements (cf figure ci-dessous).

 

 

 

PHSM OMS Covid 19

 

 

 

 

 

 

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Indice de sévérité des mesures sociales et de santé

 

 Les accords de Ségur ont été signés le 13 juillet 2020 suite à l'épidémie de la Covid-19. Ils sont l'aboutissement de 50 jours de travaux et de la consultation de plus de 118 000 professionnels, soit lors de réunions bilatérales ou territorials, soit par consultation en ligne.

Les travaux animé par Nicole Notat ont permis à Olivier Veran, ministre de la santé, de retenir trente-trois mesures et orientations de son rapport pour poursuivre la modernisation du système de santé en France et d’améliorer le quotidien des soignants ainsi que la prise en charge des patients.

Deux accords ont été signés, l'un pour les professions non médicales, l'autre pour les personnels médicaux de l'hôpital public. Une enveloppe de 8,2 milliards annuels d'euros est consacrée à la revalorisation des métiers des établissements de santé et des Ehpad (7,6 milliards) et à l’attractivité de l’hôpital public (450 millions).

 

 

Principales conclusions du Ségur de la santé

  1. - 19 milliards d’euros d’investissement dans le système de santé pour améliorer la prise en charge des patients et le quotidien des soignants.
  2. - 8,2 milliards d’euros par an pour revaloriser les métiers des établissements de santé et des EHPAD, et reconnaître l’engagement des soignants au service de la santé des Français.
  3. - 15 000 recrutements Ã  l’hôpital public.
  4. - Accélérer la sortie du "tout T2A" (tarification à l’acte) et privilégier la qualité des soins.
  5. - Financer l’ouverture ou la réouverture de 4000 lits « Ã  la demande Â».
  6. - Mettre fin au mercenariat de l’intérim médical Ã  l’hôpital public.
  7. - Redonner toute sa place au service hospitalier au sein des établissements de santé.
  8. - Former plus de soignants dans les filières paramédicales pour mieux prendre en charge les patients.
  9. - Faciliter l’accès aux soins non-programmés et à l’exercice coordonné.
  10. - Développer fortement la télésanté en s’appuyant sur les acquis de la crise pour mieux soigner les Français.
  11. - Donner aux territoires les principaux leviers de l’investissement en santé dans l’intérêt de leurs habitants.
  12. - Combattre les inégalités de santé.

 

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Dossier de presse Ségur de la santé

Rapport de Nicole Notat

logo prediceDepuis début mars, l’agence régionale de santé déploie son programme de e-santé Prédice, pour lutter à distance contre le Covid-19. Gwen Marqué et Ronan Rouquet (DST) reviennent sur cette mobilisation numérique à marche forcée, dont l’impact dans la vie réelle n’a rien de virtuel.

 

Un déploiement en urgence dans l'Oise

Mercredi 4 mars, mesures de e-santé publique. Pour endiguer la propagation du virus dans le foyer de l’Oise, l’agence déploie en urgence auprès des médecins généralistes isariens le service de téléconsultation de Prédice, avec 2 mois d’avance sur le calendrier prévisionnel. Quelques jours plus tard, la solution est étendue à l’ensemble des médecins généralistes et spécialistes de la région, libéraux comme hospitaliers. L’objectif est alors double : limiter les contacts physiques et les risques de transmission entre médecins et patients tout en facilitant l’accès aux consultations médicales sans déplacement.

 

VRP de la e-santé
Pour tenir le rythme, une « méthodologie agile » est privilégiée, explique Gwen Marqué (DST) « il s’agissait alors d’avoir une capacité de réaction proportionnelle à l’urgence de la situation, centrée sur les priorités : on avance vite et on améliore au fur et à mesure ce qui doit l’être, d’un point de vue technique comme de la gestion du déploiement ». Pour cela, les équipes de l’agence se muent en véritables VRP de la e-santé, dans un accompagnement étroit des établissements et représentants des professionnels de santé. « Chaque jour, nous échangeons avec eux sur les aspects de facturation, d’organisation ou pour faire des démonstrations de l’outil » détaille Ronan Rouquet.


Plus de 6 500 professionnels inscrits aux services Prédice
Et les résultats sont là : plus de 6 500 professionnels de santé sont inscrits à la solution Prédice et effectuent plusieurs milliers d’actes chaque semaine. Au regard des besoins amplifiés par la situation d’épidémie, d’autres professionnels ont rejoint les rangs de Prédice : plus d’un quart des sages-femmes libérales de la région l’utilisent pour le suivi de grossesse ou la préparation à l’accouchement, les pharmaciens d’officine peuvent y recourir pour conseiller les patients Covid-19 et les infirmiers peuvent assurer un télésoin des patients à domicile. Médecins du SDIS, de la médecine du travail ou professionnels de la protection maternelle et infantile (PMI) y ont également recours, dans une ouverture au cas par cas.

 

Un suivi à distance des patients Covid

Fin avril, l’agence lance une solution de télé-suivi à domicile des patients Covid, une première pour une plateforme régionale de e-santé. Le principe est que pour éviter les rassemblements dans les cabinets ou les établissements, le médecin peut enclencher un suivi à distance des patients symptomatiques. Ces derniers remplissent un questionnaire (température, fréquence respiratoire et cardiaque, douleurs, etc.) permettant à l’équipe de prise en charge d’évaluer à distance l’évolution de l’état de santé jour après jour. En cas de besoin, les patients au domicile peuvent être assistés d’un infirmier pour prendre ces constantes.
Ronan Rouquet est formel : « Ces avancées ont été permises par une belle mobilisation inter-directions. Les équipes de la DST qui pilotent le projet (NDLR : Emmanuel Guilbert, Benoît Normand, Gwen Marqué, Ronan Rouquet) peuvent compter sur l’appui permanent des collègues de la DOS et de la DOMS ».
Et les perspectives ? « L’épidémie de Covid-19 s’est traduite par une explosion du recours aux services de e-santé » constatent Gwen Marqué et Ronan Rouquet. « Notre objectif est de consolider cette offre de services pour lutter contre la Covid-19, de renforcer l’ergonomie des outils, notamment des portails d’accès. À plus long terme, il s’agira d’amplifier cette dynamique conjoncturelle au bénéfice des professionnels et des patients ».

 

 

Mémo(rable) - Prédice fait le plein d’initiatives

Si les services Prédice bénéficient à un large éventail de professionnels, ils permettent aussi de renforcer l’accès aux soins de publics variés. Le réseau sourds et santé Nord – Pas de Calais s’est ainsi emparé du service pour développer des téléconsultations en langue des signes. L’association « La Sauvegarde du Nord », pour sa part, a équipé un bus de la solution, pour proposer des consultations à des familles Roms de la métropole lilloise.

 

CHRONO

4 mars – L’agence lance le service de téléconsultation Prédice auprès des médecins généralistes de l’Oise.
9 mars – L’agence étend le service à l’ensemble des médecins libéraux et des établissements de la région.
Aujourd’hui – Prédice passe le cap des 80 000 Téléconsultations.
Fin avril – L’agence lance une solution de télésuivi des patients Covid-19 à domicile.

 

 

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Prédice

 

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